C'est du volume de données dont elle dispose que notre époque tire un sentiment immérité de sa supériorité;
alors que le véritable critère porte sur le degré auquel l'homme sait pétrir et maîtriser les informations dont il dispose.

Goethe, cité par Georges Elgozy dans Le désordinateur - le péril informatique, Paris, Calman-Levy, 1972 (p.27). Ne lisant pas sa langue, je n'ai pas pu retrouver l'original.

C'est vraiment écœurant les gens qui comprennent tout avec 200 ans d'avance.